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Définir et mesurer
Les sources lumineuses
Les impacts
La Sécurité, criminalité
Définir et mesurer
Les sources lumineuses
Les impacts
La Sécurité, criminalité
Avec la libéralisation du marché de l’électricité et l’augmentation importante
des coûts de l’énergie facturée aux communes, l’éclairage public
est devenu un enjeu majeur. Dans de nombreuses communes, l’énergie
consommée par l’éclairage public représente 45 à 50 % de leur facture
d’électricité annuelle. Quelles sont dès lors les possibilités offertes aux
communes pour maîtriser leurs coûts financiers et participer à l’effort de
réduction des consommations énergétiques? Quelles sont les obligations
en matière d’éclairage public? Quelles sont les perspectives technologiques?
Le présent dossier propose de faire le point sur la question.
2758.pdf
Recommandation ENE01 – 29/06/11 - REDUIRE L’IMPACT ENVIRONNEMENTAL DE L’ECLAIRAGE PUBLIC (Bruxelles-Environnement), L’éclairage de l’espace public fut longtemps considéré, jusque dans les années 80, comme un
équipement purement fonctionnel répondant surtout à des besoins sécuritaires. Au cours de
ces dernières décennies, d’autres aspects sont venus se greffer à cette préoccupation : qualité
de vie, ambiance urbaine, identité nocturne des villes, valorisation culturelle et marketing
urbain…
Cette tendance a entraîné une augmentation sensible de la consommation d’énergie. A cette
croissance s’ajoute l’état de vétusté des installations existantes dans un cadre budgétaire de
plus en plus limité pour les pouvoirs publics.
La fiche vise à promouvoir une nouvelle approche de l’éclairage public qui minimise son impact
environnemental et économique sans diminuer la qualité des réponses aux besoins qu’il doit
rencontrer. Le concept « Eclairer Juste » implique de définir la lumière nécessaire et
souhaitable, là où il le faut, quand il le faut et au meilleur coût. L’éclairage public représente une
opportunité de réduire de manière appréciable la consommation énergétique et les émissions
de GES (gaz à effet de serre). En effet, le type, le nombre, la disposition, l’utilisation, la durée
de vie et la forme des appareils d’éclairage peuvent influencer de manière significative le bilan
énergétique et environnemental global de cet équipement.
De plus, le concept « éclairer juste » permet de réduire d’autres nuisances environnementales
produites par l’éclairage public. Il importe, en effet, de limiter son impact négatif sur la santé
humaine, la faune et la flore et de diminuer la pollution lumineuse du ciel nocturne.
Au niveau économique, il va de soi qu’une diminution de la consommation influence
directement les coûts de fonctionnement que supportent les pouvoirs publics.
Enfin, au niveau social, « éclairer juste » doit permettre aux concepteurs de l’espace public de
favoriser la sociabilité vespérale, de créer des ambiances adaptées aux lieux, de répondre aux
besoins de sécurité et de confort des usagers et de valoriser le patrimoine construit et naturel.
if_qdurables_ene01_fr.pdf
ANSES - 25 octobre 2010 (France), L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail
(Anses)1
publie ce jour un rapport d’expertise sur les effets sanitaires des systèmes
d’éclairage utilisant des LED ; un tel travail n’avait jamais été réalisé. De par leur faible
consommation électrique et leur fort rendement, les éclairages utilisant des LED présentent
des performances énergétiques de premier plan et trouvent toute leur place dans les
politiques d’économie d’énergie. Leur marché est en pleine progression. Cependant, des
risques liés à l’usage de certaines lampes à LED, pouvant conduire à des effets sanitaires
pour la population générale et les professionnels, ont été identifiés.
Les diodes mises sur le marché à des fins d’éclairage sont principalement caractérisées par
la grande proportion de bleu dans la lumière blanche émise et par leur très forte luminance
(« intensité lumineuse »). Les enjeux les plus préoccupants identifiés par l’Agence
concernent l’œil : effet toxique de la lumière bleue et risque d’éblouissement.
La lumière bleue nécessaire pour obtenir des LED blanches conduit à un stress toxique pour
la rétine. Les enfants sont particulièrement sensibles à ce risque, dans la mesure où leur
cristallin reste en développement et ne peut assurer son rôle efficace de filtre de la lumière.
Ces nouveaux éclairages peuvent conduire à des « intensités de lumière » jusqu’à 1 000 fois
plus élevées que les éclairages classiques, générant ainsi un risque d’éblouissement. Leur
éclairage très directif, ainsi que la qualité de la lumière émise, peuvent par ailleurs être
source d’inconfort visuel.
Dans le cadre de son expertise, et dans un contexte pionnier, l’Anses a conduit différents
essais visant à évaluer les risques de ces nouveaux éclairages à l’aune de la norme
européenne de sécurité photobiologique2
. Certains de ces produits relèvent de groupes de
risques supérieurs à ceux des éclairages traditionnels, jusqu’alors accessibles par le grand
public.
Dans ce contexte, l’Anses recommande que seules les LED appartenant à des groupes de
risques similaires à ceux des éclairages traditionnels soient accessibles pour le grand public,
les éclairages les plus à risque devant être réservés à des utilisations professionnelles dans
des conditions permettant de garantir la sécurité des travailleurs.
Par ailleurs, l’Agence souligne la nécessité de diminuer les intensités lumineuses perçues,
afin de limiter les risques d’éblouissement.
L’Agence recommande également d’éviter l’utilisation de sources de lumière riches en
couleur bleue dans les lieux fréquentés par les enfants.
pres2010cpa14.pdf
ANSES – Octobre 2010 (France), La Directive européenne pour l’éco-conception (2005/32/CE) dite « EuP » (Energy using Products) prévoit l’amélioration des performances énergétiques de certains produits de
consommation courante. Cette directive a été transposée en 2007 par les États membres
de l’Union européenne et son entrée en vigueur planifiée entre 2008 et 2010.
En application de la Directive EuP, la Commission européenne, par décision du 18 mars
2009, a prévu une interdiction progressive de la commercialisation des lampes les plus
consommatrices d’énergie, suivant un calendrier s’étalant du 1er septembre 2009 au 1er
septembre 2016. Les ampoules fluo-compactes, dites « basse consommation », ou
d’autres sources d’éclairage comme les diodes électroluminescentes (LED)1
Les diodes électroluminescentes sont des sources d’éclairage en plein développement
technologique et économique. Utilisées depuis de nombreuses années dans l’électronique
comme sources de lumière monochromatiques de faible intensité pour des applications de
témoins lumineux, elles trouvent aujourd’hui leur place dans des systèmes d’éclairage à
part entière. plus économes en énergie, ont pour vocation, à terme, à les remplacer.
La première LED à spectre visible, émettant une intensité lumineuse extrêmement faible, a
été créée en 1962. La diode bleue a été inventée en 1990, suivie par la mise au point de la
diode blanche, ouvrant la voie à de nouvelles applications majeures, notamment dans le
domaine de l’éclairage et des écrans de télévisions et d'ordinateurs. Les premières LED
blanches sont peu à peu apparues sur le marché et sont maintenant de plus en plus
puissantes (de quelques watts à quelques dizaines de watts). Pour produire de la lumière
blanche, le procédé le plus répandu couple une LED bleue à un phosphore jaune.
La société OSYRIS3 s’est inquiétée, dans un courrier à destination de l’Institut de veille
sanitaire (InVS) datant du 27 décembre 2007, des possibles impacts des LED sur la rétine.
Dans ce courrier était souligné le lien possible entre l’exposition de l’œil à des
rayonnements de longueurs d’ondes courtes, proches des ultraviolets (caractéristiques
des spectres lumineux des LED) et le risque d’induire une pathologie oculaire : la
dégénérescence maculaire. L’InVS a transféré la lettre de la société OSYRIS à l’Agence
française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (Afsset4
Parallèlement, la question de l’impact des LED sur la santé au travail a été soulevée lors
de discussions informelles entre l’Afsset et la Direction générale du travail (DGT), celle-ci
étant alertée par les projets récents d’éclairage intérieur de bâtiments au moyen de LED. Il
est en effet probable que le développement de ce type de solutions d’éclairage s’accélère,
notamment pour des raisons de coût économique, tant pour des applications impliquant la
population générale que professionnelle.
ap2008sa0408.pdf
Les différentes listes sélectionnent pour chaque fabricant (donné dans l'ordre alphabétique) les lampadaires les plus respectueux de l'environnement nocturne qui pourront être utilisés par exemple dans le cadre de la Réserve Internationale de Ciel étoilé (RICE) du Pic du Midi. Il est bon de souligner que même si on considère toutes les puissances possibles pour chaque luminaire, les puissances inférieures ou égales à 70W devront être utilisées en priorité pour limiter le flux lumineux réfléchi dans le cas de mâts avec une hauteur (pour les sources d'éclairage) inférieure à 8 mètres.
- Liste des luminaires Eclatec, eclatec.pdf
- Liste des luminaires Idalux, idalux.pdf
- Liste des luminaires Ludec/Selux, ludec_selux_idelum_france.pdf
- Liste des luminaires Philips, philips.pdf
- Liste des luminaires Schreder/Comatelec, schreder_comatelec.pdf
- Liste des luminaires Siteco/Sidelux, siteco_sidelux.pdf
- Liste des luminaires Thorn, thorn.pdf
L’économie sur la consommation d’éclairage n’est pas toujours une économie nette. En
effet, il arrive que la diminution de la consommation d’éclairage entraîne une
augmentation de la consommation de chauffage.
Exemple :
Dans un bâtiment de bureaux, une rénovation de l'éclairage a apporté une réduction de
la consommation électrique pour l'éclairage de 45 % ou 490.000 kWh/an. Les mesures
appliquées : remplacement de tous les luminaires par de nouveaux, détecteurs de
présence dans certaines zones, gestion horaire dans d’autres zones et découpage des
circuits dans les grands bureaux paysagers.
On estime que parmi les 490 MWh économisés en éclairage, environ 270 MWh devront
être compensés par un supplément de chauffage. Néanmoins, l’économie nette reste
très importante.
De plus, le remplacement d’une consommation en électricité par une consommation en
chauffage est bénéfique au niveau du coût pour l'exploitant et des rejets de CO2 pour
l'environnement.
Enfin, la diminution de la consommation d'éclairage engendre une diminution de la
consommation de froid…ou de la surchauffe!
checklist_amelioration_eclairage.pdf
Une installation d’éclairage s’appuie sur 3 grands principes :
2) La lumière émise
1) Les configurations d’éclairage
3) Les matériels lumière
cete_mediterannee_formation_eclairage_public.pdf
Environ 90 % des plus de 70.000 kilomètres de voies publiques en Belgique sont éclairés. Cela représente plus de 63.000 kilomètres d'éclairage public. Sur les photos satellite, on peut donc voir la Belgique comme une grande tache lumineuse.
Dans notre pays, nous accordons beaucoup d'attention à l'éclairage public. En effet, un bon éclairage public favorise la sécurité routière et sociale. Cependant, ce sentiment de sécurité a un prix élevé : de nombreux appareils sont mal adaptés et provoquent des nuisances et/ou une pollution lumineuse.
http://www.axioma.be/fr/informations/p/detail/quel-est-limpact-de-la-nuisance-lumineuse-en-belgique
Le développement durable : un enjeu permanent de l’éclairage extérieur,
renforcé par le Grenelle Environnement
Depuis les premières lanternes déposées en 1558 devant quelques portes et fenêtres parisiennes jusqu’aux
systèmes d’éclairage les plus récents, les critères de performances, d’économies d’énergie, de sécurité et de
confort visuel sont au coeur des exigences des acteurs de l’éclairage extérieur, des fabricants jusqu’à l’utilisateur
final, en passant par les maîtres d’ouvrage et maîtres d’oeuvre, architectes et concepteurs lumière,
sans oublier les installateurs. Aujourd’hui, ils sont incontournables :
• Enjeux économiques : la consommation d’éclairage extérieur, environ 5 TWh, ne représente que 1 % de la
production totale d’électricité en France, mais correspond à 48 % des consommations d’électricité des collectivités
territoriales, soit 18 % de leurs consommations toutes énergies confondues. Ce service public pèse
pour environ 37 % dans la facture d’électricité des communes.
• Enjeux environnementaux : des consommations contrôlées, des nuisances lumineuses limitées, un éclairage
adapté aux seules exigences visuelles, la garantie d’une filière de collecte et de recyclage, etc. : autant
de critères à prendre en compte pour des installations respectueuses de l’environnement, que
les lois Grenelle Environnement vont maintenant rendre obligatoires, dans le neuf comme dans l’existant.
• Enjeux sociaux : la sécurité des personnes et des biens reste la première des priorités, qu’elle soit immédiate
(sécurité des déplacements dans les espaces publics), ou de long terme (limitation des rejets de CO2
et des effets du changement climatique). Elle s’accompagne de la recherche d’une qualité de vie que les
ambiances lumineuses judicieusement réparties dans l’espace et le temps peuvent procurer. Les exigences
spécifiques de santé visuelle (malvoyants, personnes âgées) peuvent et doivent aujourd’hui être traitées
de façon plus pertinente
ademe_-_2012_grenelle_eclairer_juste.pdf
Il existe essentiellement 2 types de lampes : les lampes à incandescence (classique et
halogène), dans lesquelles un filament brûle, et les lampes à décharge (“néons”,
mercure, sodium, halogénures métalliques) qui produisent de la lumière grâce à une
décharge électrique dans un gaz.
differentstypesdelampes.pdf
Les premiers verres préventifs qui protègent de la lumière bleue nocive et des UV Communiqué de presse : Essilor lance Crizal® Prevencia™
Emise par le soleil mais aussi par les sources lumineuses artificielles comme les LEDs ou les éclairages d’ordinateurs ou de smartphones, la lumière bleue - une partie du spectre visible de la lumière dont les longueurs d’ondes se situent entre 380 et 500 nm – peut être bénéfique pour la santé (elle régule notamment l’horloge biologique interne), mais une partie de cette lumière peut avoir des effets néfastes sur les yeux.
essilor_communique_presse_crizal_prevencia_28022013.pdf
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Charte en faveur d’un éclairage raisonné sur le territoire de Grenoble-Alpes Métropole
L'éclairage artificiel nocturne est de plus en plus présent dans les paysages urbains et même ruraux. Son essor, au cours des dernières décennies, a été particulièrement important avec des conséquences énergétiques et environnementales. Il est grand temps de revenir à la raison. La transition énergétique à venir doit être notre fil conducteur pour nous inciter à utiliser le progrès avec sobriété et à bon escient.
Dans le cadre de son Plan Climat, Grenoble Alpes Métropole a engagé en 2010 une réflexion sur l'éclairage public. Un groupe de travail multipartenarial, piloté par la FRAPNA, a rassemblé les villes de Grenoble et Fontaine, la Chambre de commerce et d'industrie de Grenoble, la Chambre des métiers, Gaz et électricité de Grenoble et Inovallée. De cette collaboration est née la « Charte pour un éclairage raisonné de Grenoble-Alpes-Métropole » signée actuellement par 9 communes. Ce guide technique a pour objectif de préciser les grands objectifs de la charte en fonction des différents types d'éclairages. Nous souhaitons ainsi contribuer à initier une culture commune sur le territoire et plus largement, apporter notre pierre à l'édifice de cette problématique en émergence.
guide_frapna_eclairage_collectivites_janv2013.pdf
L'industrie offshore a découvert que leurs lumières en mer pouvaient être à l'origine de nombreux problèmes pour les oiseaux migrateurs. QL Clearsky, avec une lumière « rouge » réduite, permet aux oiseaux migrateurs d'atteindre plus facilement leur destination en les attirant moins vers la plateforme et en évitant qu'ils ne soient désorientés. À l'origine, l'éclairage à induction QL Clearsky a été mis au point en 2008 par Philips Lighting, NAM, Dutch Petroleum Company avec le soutien de l'Université de Wageningen, pour les plateformes offshore et autres sites de forage en réserves naturelles. QL Company a redéveloppé le produit au premier trimestre 2012 pour ainsi lui permettre d'atteindre une durée de vie prolongée et fiable de 100 000 heures, à l'instar de toutes les autres séries QL.
systemes_d_eclairage_a_induction_ql_clearsky.pdf
Light pollution induced sky radiance arise when light of artificial origin is throw toward the sky. A part of this light is returned back towards the Earth by the atmospheric constituents (molecules and aerosols). This phenomenon is highly correlated with an inapropriate and excessive use of the artificial light. In addition to limiting the access to the starry skies, light pollution acts negatively on fauna and the flora, on human health and it also contributes to the growth of energy needs and thus to the production of greenhouse gases.
GRAPHYCS is one of the research groups to have developed a hyper-spectral detector dedicated to the measurement of light pollution. Moreover, GRAPHYCS developed a sophisticated light pollution numerical model making it possible to simulate with precision human induced sky radiance under a variety of conditions. The novelty of this model lies in the fact that it makes it possible to take account of the heterogeneity of the environment in addition to being able to simulate the spectral behavior of the phenomenon. The present page is devoted to the description of this model named ILLUMINA.
http://cegepsherbrooke.qc.ca/~aubema/index.php/Prof/IllumEn
Charte en faveur d’un éclairage raisonné sur le territoire de Grenoble-Alpes Métropole
L'éclairage artificiel nocturne est de plus en plus présent dans les paysages urbains et même ruraux. Son essor, au cours des dernières décennies, a été particulièrement important avec des conséquences énergétiques et environnementales. Il est grand temps de revenir à la raison. La transition énergétique à venir doit être notre fil conducteur pour nous inciter à utiliser le progrès avec sobriété et à bon escient. Dans le cadre de son Plan Climat, Grenoble Alpes Métropole a engage en 2010 une réflexion sur l'éclairage public. Un groupe de travail multipartenarial, piloté par la FRAPNA, a rassemblé les villes de Grenoble et Fontaine, la Chambre de commerce et d'industrie de Grenoble, la Chambre des métiers, Gaz et électricité de Grenoble et Inovallée. De cette collaboration est née la « Charte pour un éclairage raisonné de Grenoble-Alpes-Métropole » signée actuellement par 9 communes. Ce guide technique a pour objectif de préciser les grands objectifs de la charte en fonction des différents types d'éclairages. Nous souhaitons ainsi contribuer à initier une culture commune sur le territoire et plus largement, apporter notre pierre à l'édifice de cette problématique en émergence.
Document préparé à l’intention des municipalités et MRC du Québec
MISE EN CONTEXTE
Devant la grande demande de plusieurs citoyens et municipalités désirant agir pour contrer le phénomène croissant de la pollution lumineuse, la Fédération des astronomes amateurs du Québec (FAAQ), via la section québécoise de l’International Dark Sky Association (IDA), a pris l’initiative de publier un document pouvant répondre à ce besoin.
Le présent document est donc destiné aux municipalités et MRC qui désirent mettre en place un règlement de contrôle de l’éclairage extérieur et il se divise en 2 parties, soit :
Un règlement type, similaire à celui adopté par les MRC du Granit et du Haut-Saint-François ainsi que par la Ville de Sherbrooke, toutes situées en Estrie.
Une annexe technique explicative de la réglementation qui a pour objet d’expliquer les principales normes du règlement proposé.
http://www.faaq.org/cielnoir/reglement_eclairage_exterieur_final2009.doc